NE TARDEZ PAS À RÉSERVER VOS VOLS POUR LA SAISON HIVERNALE !

Recherchez un avion, une ville, ou une information…

Leader de la location de jet privé dans le monde entier

 Devenir Pilote en France : Top 6 des meilleures écoles d’aviation

Location de jets privés
depuis 1991

20 000
appareils disponibles

45 000
vols assurés

120 000+
passagers

4,9/5
satisfaction client

100%
compensation carbone

Vous aspirez à devenir pilote de ligne ou vous vous interrogez sur les différentes voies d’accès à ce métier passionnant ?

Que vous soyez un futur étudiant en quête de repères ou simplement curieux du monde de l’aviation, cette ressource est faite pour vous.

Notre équipe, composée de professionnels de l’aviation privée et du transport aérien, vous guide à travers les différentes filières existantes. 

Vous découvrirez une analyse claire et comparative des meilleures écoles d’aviation en France, ainsi que des conseils pratiques pour vous orienter sereinement dans cette aventure exigeante, mais accessible à ceux qui s’y préparent avec rigueur.

Le métier de pilote : rigueur, passion et résistance

Responsable de transporter des passagers d’un point A à un point B, le pilote est ce que l’on appelle un personnel navigant technique (PNT). Ses missions sont transversales et suivent un long et complexe cheminement: elles se déroulent avant, pendant et même après le vol.

1. Avant le vol

Avant chaque vol, un briefing est nécessaire pour appréhender l’aspect technique de l’avion: moyens radio, moyens de communication, géolocalisation, instruments de navigation… Une check liste très précise doit être vérifiée, ses tâches sont réparties entre les pilotes. En général, l’un s’occupe de la « visite pré-vol », c’est à dire de l’aspect extérieur de l’appareil. Il doit s’assurer qu’aucun problème majeur ne fait surface: un écoulement de fluide, une odeur suspecte, un impact sur le fuselage… L’autre pilote se rend quant à lui directement à l’intérieur de l’avion pour le configurer et préparer le plan de vol. Cette phase de préparation est essentielle et doit être soigneusement effectuée, notamment lors du calcul de la quantité requise de carburant et de l’étude des conditions météorologiques.

2. Pendant le vol

Seul maître à bord, il doit faire preuve de discernement, de réactivité et de sang-froid pour faire face aux différents aléas. C’est pourquoi, en plus d’un grand sens des responsabilités et d’analyse, le personnel navigant technique se doit d’être en excellente santé et doté d’une résistance physique et nerveuse. A ce sujet, la détention d’un certificat médical ou non suscite de nombreux questionnements. Une visite PNT dite de classe 1 dans un centre médical aéronautique sera exigée. Au cours de cette visite médicale, plusieurs éléments seront alors auscultés :

  • la vue ;
  • l’ouïe ;
  • la présence de problèmes neurologiques ;
  • la présence de problèmes cardiaques…

Au sein du cockpit, le pilote agit à plusieurs niveaux: il contrôle l’ensemble des paramètres, surveille les ordinateurs de bord, et reste en permanence en contact avec le contrôle aérien. De plus en plus automatisé, le pilotage reste une discipline complexe, qui requiert un certain savoir-faire et une bonne connaissance des systèmes de navigation. Responsable de l’équipe navigante et des passagers, deux cordes supplémentaires doivent s’ajouter à l’arc du pilote d’avion: le sens de l’anticipation et une maîtrise irréprochable de l’anglais.

3. Après le vol

La mission du pilote s’achève quelques heures après l’atterrissage. Il doit effectuer un reporting du vol, c’est-à-dire communiquer et faire remonter ses remarques. 

Celles-ci peuvent concerner l’entretien de l’avion: le but étant d’améliorer la sécurité aérienne et d’anticiper un quelconque incident sur les prochains vols.

Le plan de carrière d’un pilote

La carrière de pilote offre de nombreuses possibilités et opportunités afin de franchir les différents échelons. 

Généralement, on commence Officier Pilote de ligne sur les courts et moyens courriers, puis sur de longs courriers. 

Suite à une dizaine d’années d’expérience, on devient Commandant de Bord sur les courts et moyens courriers, pour terminer Commandant de Bord sur les longs courriers. 

Obtenir le poste de Commandant de Bord Instructeur sur un type d’avion particulier représente le point culminant, l’apogée de la carrière de pilote.

Avant d’atteindre ce stade, un certain nombre de formations et qualifications sont évidemment nécessaires. 

Tout de suite, nous vous expliquons les dessous des études de pilote de ligne et pilote privé…

Les formations aéronautiques : comment devenir pilote ?

Le métier de pilote requiert une longue phase d’apprentissage et un entraînement terrain solide. 

Que l’on emprunte la voie d’Etat dite « royale » des grandes écoles ou des cursus parallèles (qualifications payantes, l’armée), apprendre à piloter demande un travail de longue haleine. 

Les études sont particulièrement sélectives, avec une trentaine de candidats pris à l’ENAC (École nationale d’aviation civile) par an.

Plusieurs filières d’État sont possibles, elles sont accessibles à plusieurs niveaux :

  • Postbac
  • Bac+2 d’un cursus scientifique
  • Détention de la licence PPL (Licence de Pilote Privé), de la licence de Pilote professionnel (CPL) et de l’ATPL théorique (Licence de Pilote de Ligne)

Les différents diplômes à l’issue de ces études sont nombreux et représentent un investissement en argent et temps. C’est pourquoi il est nécessaire de choisir la bonne filière, adaptée à ses objectifs et ses chances de succès. 

A l’issue de ces formations, le salaire brut mensuel d’un débutant est d’environ 2000 €. Ce montant varie cependant en fonction des compagnies aériennes, du type d’avion, des distances parcourues… 

Un échantillon représentatif de 6 écoles d’aviation française: le comparatif

Nous vous livrons notre rapport comparatif des 6 meilleures écoles de l’aviation en France selon les critères suivants :

  • rang au sein du classement des meilleures écoles d’ingénieur en France ;
  • panel de formations théoriques (bachelors/masters) en aviation et en aéronautique proposés ;
  • programmes de formations pratiques de pilotage enseignés
  • installations et équipements à disposition ;
  • coût par année d’étude ;
  • durée de la formation.

1. ISAE-Supaéro

  • rang : 4
  • nombre de programmes : 14
  • programme de pilotage : diplôme d’études supérieures d’ingénieur aéronautique
  • installations : flotte de neuf avions, plateforme système autonome pour microdrones et robots, simulateurs de vol et plateforme de neuroergonomie, souffleries, soufflerie aéroacoustique, banc d’essai de turbosoufflantes, salle radio pilotée par logiciel, station au sol pour le suivi et l’exploitation de satellites, centre de commandement et de contrôle des satellites
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 4 800 €
  • durée de la formation : 24 mois à plein temps 

2. ESTACA

  • rang : 8
  • nombre de programmes : 8
  • programme de pilotage : ingénieur aéronautique (master) et formation de pilote de ligne
  • installations : simulateurs, laboratoires de recherche, souffleries
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 7 990 €
  • durée de la formation : 12 mois à plein temps

3. École Centrale de Nantes

  • rang : 15
  • nombre de programmes : 2
  • programme de pilotage : N/A
  • installations: souffleries, centre d’essais dynamiques et statiques, plateforme de production rapide
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 2 500 €
  • durée de la formation : 36 mois à plein temps

4. Institut Polytechnique des Sciences Avancées(IPSA)

  • rang : 36
  • nombre de programmes : 2
  • programme de pilotage : ingénieur aérospatial (master)
  • installations : souffleries, laboratoires de recherche, ordinateurs intelligents
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 5 500 €
  • durée de la formation : 36 mois à plein temps

5. École Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique (ISAE – ENSMA)

  • rang : 53
  • nombre de programmes : 2
  • programme de pilotage : mécanique et énergétique aéronautique (master)
  • installations : laboratoires de recherche
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 7 300 €
  • durée de la formation : 24 mois à plein temps

6. ENAC

  • rang : 65
  • nombre de programmes : 12
  • programme de pilotage : diplôme de pilote de ligne (uniquement pour les diplômés ou les étudiants en cycle préparatoire)
  • installations : flotte de 121 appareils, simulateurs de vol spécifiques, simulateurs avancés de contrôle du trafic aérien, infrastructures aérodynamiques, électroniques, informatiques et linguistiques, quatre laboratoires de recherche
  • coût par année d’étude (étudiant français) : 1 300 €
  • durée de la formation : 36 mois à plein temps

Et quelque soit le cursus choisi, le pilote professionnel reste avant tout un homme ou une femme de passion. 

Nos experts aériens sont à votre écoute 24H/24 et 7 jours sur 7 pour votre vol privé au +33 (0) 1 44 09 91 82. N’hésitez pas à vous rendre sur notre devis en ligne pour obtenir une estimation de prix de votre vol privé.

  • Quelles sont les alternatives aux écoles listées pour devenir pilote en France ?

    En dehors des grandes écoles d’ingénieurs et de l’ENAC, il existe des formations privées (comme les ATO – Approved Training Organisations) ou des parcours militaires (Armée de l’Air et de l’Espace). Certaines compagnies aériennes proposent également des programmes cadets, où la formation est partiellement ou totalement financée en échange d’un engagement professionnel.

  • Peut-on devenir pilote de ligne sans passer par une école d’ingénieur ?

    Oui, il est possible d’obtenir une licence de pilote professionnel (CPL) ou de pilote de ligne (ATPL) via des organismes de formation agréés (ATO) sans diplôme d’ingénieur. 

    Cependant, les compagnies aériennes peuvent privilégier les candidats issus de filières reconnues pour leur rigueur académique.

  • Quel est l’impact de la certification médicale de classe 1 sur la carrière d’un pilote ?

    Le certificat médical de classe 1 est obligatoire pour exercer comme pilote de ligne. S’il est perdu (pour raisons médicales), le pilote peut être reclassé ou voir sa carrière interrompue. Certains se reconvertissent alors dans l’instruction, le management ou le contrôle aérien.

  • Comment financer des études de pilotage, souvent très coûteuses ?

    Outre les bourses (notamment pour l’ENAC), des prêts bancaires spécialisés, des sponsors (clubs aéronautiques, compagnies) ou des dispositifs comme le CPF (Compte Personnel de Formation) peuvent aider. Les programmes cadets des compagnies aériennes couvrent aussi une partie des frais.

  • Les pilotes issus de l’armée peuvent-ils rejoindre l’aviation civile ?

    Oui, après une reconversion. Ils doivent passer des qualifications civiles (comme l’ATPL) et parfois suivre des modules spécifiques (gestion du trafic aérien civil, procédures propres aux compagnies). Leur expérience est souvent valorisée.

  • Existe-t-il une limite d’âge pour devenir pilote de ligne ?

    Il n’y a pas de limite stricte pour commencer la formation, mais les compagnies imposent souvent un âge maximal de recrutement (généralement 35-40 ans) pour assurer une carrière suffisamment longue.

  • Quel est le rôle du simulateur de vol dans la formation ?

    Les simulateurs permettent de s’entraîner à des situations complexes (météo dégradée, pannes) sans risque. Ils sont indispensables pour valider les qualifications sur un type d’avion spécifique (comme l’A320 ou le B787).

  • Les pilotes étrangers peuvent-ils travailler en France ?

    Oui, sous réserve de la reconnaissance de leurs licences (via l’EASA, l’Agence européenne de la sécurité aérienne) et de la maîtrise du français (niveau OACI 4 minimum pour les communications aériennes).

  • Comment évoluent les technologies dans la formation des pilotes ?

    L’utilisation de la réalité virtuelle (VR), de l’IA pour l’analyse des performances et les cours en ligne se développent, mais les heures de vol réelles restent incontournables pour obtenir les licences.

  • Peut-on se spécialiser dans le pilotage d’avions privés ou business jets ?

    Oui, via des formations complémentaires (type ratings sur jets d’affaires) et l’accumulation d’expériences. Les compétences en service client (pour les VIP) sont alors un plus.

  • Quel niveau d’anglais est exigé pour exercer ?

    Un niveau ICAO 4 (opérationnel) est obligatoire, mais les compagnies exigent souvent un niveau 5 ou 6 (courant) pour les long-courriers. Des tests comme l’ELPAC sont standardisés.

  • Comment gérer les décalages horaires et la fatigue en carrière long-courrier ?

    Les pilotes suivent des protocoles stricts (gestion du sommeil, nutrition) et ont des plannings réglementés (temps de repos minimal entre les vols).

  • Quels sont les recours en cas d’échec à la sélection d’une école ?

    Retenter sa chance après une prépa supplémentaire, se tourner vers des ATO privés, ou opter pour une licence de pilote privé (PPL) avant de postuler à nouveau.